• Autoridade Palestiniana: doutrinação e propaganda

    19 de Março de 2010

    A televisão da Autoridade Palestiniana está a transmitir um novo programa infantil que explica às crianças as diferentes áreas da Palestina. Para isso, é apresentado um mapa com a legenda (em árabe) "Explora o teu país". No mapa não há fronteiras, apenas um país está assinalado, a Palestina, e abrange todo o território de Israel. Um belo exemplo da forma como os palestinianos se  recorrem dos mais novos, para fins políticos.

    Cedo os estrategas da Autoridade Palestiniana se aperceberam das potencialidades que o recurso a crianças e jovens podia ter na luta contra Israel. As crianças doutrinam-nas, com a  manipulação de programas televisivos e  de manuais escolares, onde incutem a ideia de que Israel não deve existir. Os jovens utilizam-nos na Intifada,  permitindo que bandos de adolescentes apedrejem os soldados israelitas, para depois explorar propagandisticamente a  sua identificação pelo IDF e os ferimentos que inevitavelmente acontecem.

    Estes dois modos de manipulação encaixam perfeitamente na linha oficial seguida pela Autoridade Palestiniana: para o exterior um discurso pacifista e vitimizador; para o interior uma doutrinação belicista e agressiva, diabolizando Israel e negando a sua existência. Esta estratégia tem sido um sucesso, não  só entre a população palestiniana, mas principalmente junto dos média ocidentais, que acriticamente servem à opinião pública dos seus países todas as patranhas que a AP lhes apresenta.

    Postado por Levy às 02:41

    Lisboa Tel-Aviv

     

     

     

    Autorité Palestinienne : endoctrinement et propagande

    Source: Lisboa-Tel Aviv

    Le 19 mars 2010

    La chaîne de télévision de l'Autorité palestinienne diffuse une nouvelle émission pour enfants (http://philosemitismeblog.blogspot.com) qui explique les différentes zones de la Palestine. En guise d'illustration on montre une carte avec la légende (en arabe) "Explore ton pays". Sur la carte, il n'y a pas de frontières et un seul pays est représenté, la Palestine, qui couvre l'ensemble du territoire d'Israël. Un bel exemple de la façon dont les Palestiniens instrumentalisent les enfants à des fins politiques.
     
    Les stratèges de l'Autorité palestinienne ont réalisé très tôt le potentiel qu'offrait l'utilisation d'enfants et de jeunes dans la lutte contre Israël. Les enfants sont endoctrinés au moyen de programmes de télévision et de manuels scolaires, qui leur inculquent l'idée qu'Israël ne doit pas exister. Les jeunes sont utilisés dans l'intifada: des bandes d'adolescents de jeter des pierres aux soldats israéliens, identifiés à Tsahal, des blessures se produisent inévitablement et tout ceci sert à des fins de propagande.
     
    Ces deux types de manipulation s'inscrivent parfaitement dans la ligne officielle adoptée par l'Autorité palestinienne: pour l'étranger le discours est pacifiste et victimaire; mais à l'intérieur il est belliqueux et agressif, Israël étant diabolisé et son existence niée. Cette stratégie a du succès, non seulement auprès de la population palestinienne, mais aussi et surtout auprès des médias occidentaux, qui sans aucun esprit critique relayent auprès de leur opinion publique presque tous les bobards que l'Autorité Palestinienne raconte.

    Lisboa Tel-Aviv

    Philosémitisme

    Jerusalem Post

     

     


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  • D'abord qui est Hadriaan Relandi (ou Hadrian Reland) ? Non, ce n'est pas un Juif sioniste, membre du Likoud, venu défendre Israël dans le conflit israélo-palestinien. Voyons ce qu'en dit Wikipedia France :

    Hadrian Reland

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

    Hadrian Reland (né le 17 juillet 1676 à De Rijp, en Hollande-Septentrionale - décédé le 5 février 1718 à Utrecht) est un savant et philologue des Provinces-Unies du début du XVIIIe siècle. Son nom était latinisé en Hadrianus Relandus, se trouve aussi sous les formes néerlandaises de Adriaan Reland ou Reelant.

    C'est le premier à avoir émis l'hypothèse de l'existence d'une famille de langues malayo-polynésiennes en 1706, dans un opuscule intitulé Dissertatio de linguis insularum quarundam orientalum, sur la base de données du philippin, de l'indonésien et du malgache avec les vocabulaires de l'Océanie obtenus lors des voyages de Willem Schouten et Jacob Le Maire en 1616.

    Œuvres [modifier]

        * 1706 Hadriani Relandi Dissertationum Miscellanearum pars tertia et ultima (Dissertatio de linguis Insularum quarundam Orientalium).

        * (la) Adriaan Reelant, Palaestina ex monumentis veteribus illustrata (2 volumes), vol. I, ex libraria Guilielmi Broedelet, 1714, 1068 p. [présentation en ligne]

        * (la) Adriaan Reelant, Palaestina ex monumentis veteribus illustrata (2 volumes), vol. II, ex libraria Guilielmi Broedelet, 1714, 1068 p. [présentation en ligne]

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Hadrian_Reland

    http://fr.wikipedia.org/wiki/De_Rijp

     

    Et, toujours beaucoup plus complet, voici ce que dit Wikipedia England :

    Adriaan Reland

    From Wikipedia, the free encyclopedia

    Adriaan Reland (also known as Adriaen Reeland/Reelant, Hadrianus Relandus) (July 17, 1676, De Rijp - February 5, 1718, Utrecht [1]) was a Dutch scholar, cartographer and philologist.

    Reland was the son of Johannes Reland, a Protestant minister, and Aagje Prins in the small North Holland village of De Rijp. Adriaan's brother, Peter (1678-1714) was an influential lawyer in Haarlem[1]. Reeland first studied in Amsterdam and enrolled at University of Utrecht in 1693. After obtaining his PhD in Utrecht he moved to Leiden where he tutored the son of Hans Willem Bentinck, later the 1st Earl of Portland. The latter invited him to move to England, but Reland declined because of his father's deteriorating health [1].

    Reland was one of the early Orientalists.[2] He was appointed professor of philosophy at the University of Harderwijk in 1699. [3]. From 1701 onwards he was professor of Oriental languages at the University of Utrecht. In 1713, he also taught Hebrew antiquities. Reland was acclaimed for his painstaking studies of Islam and linguistic research. He traced the eastward extension of Malay-like languages into the western Pacific.

    Although he never ventured beyond the borders of Netherland, he was also acclaimed as a cartographer[4]

    Reland died in 1718 in Utrecht of small pox[1].

    Selection of published work

        * Palaestina ex monumentis veteribus illustrata - a detailed geographical survey of Palestine in 1696 written in Latin and published by Willem Broedelet, Utrecht, in 1714.

        * De religione Mohammedica libri duo - the first European work to attempt to describe the Islamic religion in a relatively objective way, published in 1705.

        * Galatea. Lusus poetica - A collection of Latin love-elegies, which brought Reland some fame as a Neolatin poet, published in 1701.

        * De natuurlijke wijsgeer - a Dutch translation of Ibn Tufail's Arabic novel Hayy ibn Yaqdhan, printed by Pieter van der Veer at Amsterdam in 1701.

    [edit] References

       1. ^ a b c d John Gorton, A General Biographical Dictionary, 1838, Whittaker & Co.

       2. ^ Power And Religion in Baroque Rome: Barberini Cultural Policies, P. J. A. N. Rietbergen, p.321

       3. ^ Adriaan Reland (1676-1718)

       4. ^ Maps by Reland

        * This article incorporates text from the Encyclopædia Britannica, Eleventh Edition, a publication now in the public domain.

    http://en.wikipedia.org/wiki/Adriaan_Reland


    LA PALESTINE AU 17EME SIECLE


    A une époque où il est de bon ton de remettre constamment en question la légitimité juive en Israël, la découverte d’un ouvrage historique capital sur cette question, écrit au XVII ème siècle, apporte un nouvel éclairage de la plus haute importance.

    “Voyage en Palestine“, est le titre d’une œuvre écrite en 1695, par Hadrian Reland (ou Relandi), cartographe, géographe, philologue et professeur de philosophie hollandais. Le sous-titre de l’ouvrage, rédigé en Latin, s’intitule : “Monumentis Veteribus Illustrata”, édité en 1714 aux Editions Brodelet.

    Cette belle histoire commence de façon quasi anecdotique, dans un rayon d’une librairie de Budapest, qui renferme des antiquités littéraires, dont une partie concerne le judaïsme : d’anciennes reliques, usées par le temps mais de grande valeur historique (et monétaire), parfois manuscrites, probablement dérobées, issues d’anciennes synagogues. Cette pièce peut aujourd’hui être consultée à l’Université de Haïfa.

    L’auteur de cet ouvrage, l’un des premiers orientalistes, connaissait les langues, hébraïque, arabe et  grecque (ancien).

    En 1695, Relandi (ou Reland) est envoyé en voyage d’études en Israël, en Palestine d’alors, pour un objectif bien spécifique : recenser plus de 2500 lieux (villes et villages) apparaissant dans le texte du Tanah (Bible) ou de la Michna, dans leur appellation originelle. A chaque fois, Reland y mentionne le nom hébraïque tel qu’il apparaît dans le texte et le verset exact auquel il se réfère. Reland y fait également figurer son équivalent en Latin-Romain ou Grec ancien.

    Outre ce remarquable travail linguistique, l’auteur opère surtout un recensement de l’époque, pour chaque localité visitée : d’abord une considération d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors est pratiquement déserte, très peu peuplée. La majorité de ses habitants se concentre alors dans les villes de Jérusalem, Acco (Acre), Tsfat (Safed), Yafo (Jaffa), Tveria (Tibériade) et Aza (Gaza). Surtout, le constat établi par le géographe conclut à une présence dominante de Juifs sur cette terre, quelques Chrétiens et très peu de Musulmans, dont la plupart étaient des Bédouins.

    Quelques remarques extraites de cette passionnante étude :

        * Aucune localité d’alors ne propose de nom ou de source arabe

        * La grande majorité de ses villes ou villages possède un nom hébreu, quelques-uns en Grec ou Latin-Romain

        * Pratiquement aucune ville qui possède aujourd’hui un nom en arabe n’en possédait à l’époque : ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shehem), Gaza ou Djénine.

        * Aucune trace dans les recherches de Reland de sources historiques ou philologiques établies aux noms arabes, plus tardifs, de Ramallah, Al Halil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem)

        * En 1696, Ramallah s’appelle “Beteïlé” (du nom hébreu “Bet El”), Hévron s’appelle … Hévron et Méarat Hamahpéla (Caveau des Patriarches) : Al Halil, du nom donné à Avraham Avinou en arabe.

        * La plupart des villes étaient composées de Juifs, à l’exception de Naplouse (Shehem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les “Natashe”, ainsi que 70 Samaritains

        * A Nazareth, en Galilée, une ville entièrement Chrétienne : 700 Chrétiens

        * A Jérusalem, plus de 5000 habitants, dont la plus grande majorité est juive, et quelques Chrétiens. Reland n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers, dans les domaines de l’agriculture ou de la construction.

        * A Gaza, près de 550 personnes, 50% de Juifs et 50% de Chrétiens. Les Juifs étaient essentiellement spécialisés dans l’agriculture : la vigne, les olives et le blé (Goush Katif). Les Chrétiens s’occupant davantage de commerce et transport des différents produits de la région

        * Tibériade et Safed étaient de localités juives. On sait surtout que la pêche du Lac de Tibériade constituait le principal emploi de l’époque.

        * Une ville comme Oum El Fahem par exemple était complètement chrétienne : 10 familles

    L’une des conclusions qui découle de ces recherches est la contradiction définitive et rédhibitoire apportée aux arguments arabes, à savoir l’affirmation d’une légitimité palestinienne ou même d’un “peuple palestinien”.

    On en veut pour preuve le fait même qu’un nom latin, celui de “Palestine”, ait été repris à son compte par le camp arabe… (Israël Actualités)

     

     


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  • Le 18 mars 2010

    Trois des cinq prévenus dans l'affaire du vol d'Auschwitz ont été condamnés par le tribunal de Cracovie de un an et demi à deux ans et demi de prison et à une amende de 10.000 zlotys (2.580 euros) sans procès car ceux-ci ont avoué. Mais sans procès, pas d'instruction et sans instruction, pas de preuve. Tout le monde sait bien qu'on peut faire avouer n'importe quoi à n'importe qui en lui mettant la pression ou en le torturant dans le but de clore l'affaire rapidement ou de protéger quelqu'un, de même que les prévenus peuvent avouer, dans le but de protéger le véritable coupable. En tout état de cause, une condamnation sans procès ne garanti pas que le coupable a été retrouvé.  La question demeure dans le cadre d'une condamnation sans procès : veut-on arrêter les coupables ou désigner des coupables ? Il est scandaleux qu'aucun procès et donc qu'aucune instruction n'ait été menée. Tout le monde a droit à un procès, et il est indispensable de défendre cela, qui plus est à l'heure du plaider coupable qui envoie en prison des personnes dont la culpabilité n'a pas été avérée. Dans ces cas de peines sous aveux, l'affaire est-elle bouclée ou voulons-nous croire qu'elle est bouclée ?


    Aestilli Ellie @ L'Argument, 20 mars 2010.


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  • Le 19 mars 2010

    Jour après jour, l’alliance anti-israélienne, tristement soutenue par d’importants mouvements religieux, principalement du monde protestant traditionnel, cherche à coller à Israël l’étiquette d’ « apartheid ».

    Nous en sommes actuellement témoins alors qu’ont débuté les deux semaines d’agitation généralisée appelée « Semaine Israël Apartheid ». Il s’agit d’une machination tape-à-l’œil visant à marquer Israël du sceau d’ « Etat d’Apartheid » au profit d’un agenda réellement destiné à éliminer purement et simplement l’Etat Juif.

    Le véritable Etat d’apartheid d’Afrique du sud a bel et bien été démantelé à la fin des années 1980 et au début des années 1990. D’abord décrédibilisé puis délégitimé et finalement démantelé dans l’exaltation mondiale et dans celle de la majorité noire asservie qui a subi et enduré sa brutalité.

     Cependant, décrire Israël en ces termes est franchement immoral et pervers. Pourtant, cela est en train de devenir une cause très populaire sur les campus occidentaux. Des universitaires de la gauche radicale et des politiciens font équipe avec des éléments musulmans extrémistes dans ce but.

    Ils veulent assimiler Israël à l’apartheid et demandent que le monde fasse ce il a fait pour l’Afrique du sud- démanteler le pays. La plupart de ces gens ne connaissent rien de ce qu’a été l’apartheid mais ce mot est extrêmement puissant  depuis qu’il évoque haine,  discrimination, brutalité, racisme et  préjudice. Il est sidérant de constater qu’un mensonge répété assez souvent peut finalement être perçu comme une vérité. La plupart de ces gens n’ont aucune connaissance des mécanismes inhérents au régime de l’apartheid et serait incapable d’en énumérer les faits de base. Ils en ont fait une arme pour décharger leur haine d’Israël.

    Le régime de l’apartheid était essentiellement un système totalitaire de gouvernement- pas différent de nombreux régimes dans le monde arabe d’aujourd’hui- dans lequel une minorité blanche asservissait et réduisait à l’esclavage la population noire. Idéologiquement, cela véhicule une obsession de supériorité raciale. Les blancs « supérieurs » ne se mélangeaient ni ne s’asseyaient sur le même banc qu’un noir. Même le système éducatif avait réduit son niveau pour les élèves noirs parce qu’ils étaient considérés intellectuellement inférieurs et incapables d’appréhender les mêmes connaissances que les blancs. Les villes étaient « blanches » la nuit car les « noirs » devaient regagner leurs baraques, pour servir de main d’œuvre bon marché à la Nation. Les noirs ne pouvaient ni voter, ni être propriétaires, ni se déplacer librement dans leur propre pays. Plusieurs instruments de l’Etat étaient exploités aux fins impitoyables de ségrégation totale et complète y compris dans la police, l’armée, la justice. En d’autres termes, une Aryanisation …nouvelle forme !

    Rien d’équivalent dans le conflit qui oppose les Palestiniens à Israël à l’heure actuelle. Au sein d’Israël même, Juifs et Arabes partagent les mêmes centres commerciaux, hôpitaux, théatres et bien souvent les mêmes banlieues. Ils s’asseyent sur les mêmes bancs, le niveau des institutions scolaires n’a pas été « réduit » pour la communauté arabe qui jouit, comme tous les autres citoyens israéliens, de ses pleins privilèges de vote. Le Parlement israélien compte des Députés arabes. Juifs, Arabes et Palestiniens travaillent ensemble sur des chantiers de construction, dans des entreprises, des hôtels ou autres. Bien plus important, rappelons que l’Etat d’Israël est démocratique. Certes une démocratie imparfaite, mais qui dispose toutefois d’institutions démocratiques et n’est en aucun cas gouvernée par une minorité totalitaire !

    En dehors des territoires disputés, quelque 98% de population palestinienne vit sous le régime de l’Autorité Palestinienne qui leur accorde droit de vote et possibilité – disons, théoriquement – de changer de dirigeants. Effectivement, Israël a opté pour des mesures de sécurité qui restreignent leur mobilité mais qui se sont avérées nécessaires au vu des poussées du conflit, exigeant davantage de mécanismes légitimes d’auto-défense, loin de pouvoir être qualifiés d’actes de discrimination raciale.

    Rappelons également qu’il n’a jamais existé aucun Etat Palestinien dans la région, seuls les Juifs se sont toujours appelés « Palestiniens » -et ont été enregistrés en tant que tels- en 1948. Les autorités britanniques ont exercé leur mandat sur le pays et admis le droit des Juifs à établir leur propre Etat sur ce territoire qui a toujours été leur foyer national. Jusqu’aux Nations-Unies qui lui ont octroyé ce droit par vote. Lorsqu’Israël a proclamé sa Déclaration d’Indépendance, pas moins de cinq armées arabes l’ont immédiatement attaqué ! Cela nous ramène à la dimension réelle de ce conflit. C'est-à-dire qu’il a très peu à voir avec la politique ou avec des accords de paix mais tout à voir avec la théologie !

    J’entends par là une théologie radicale djihadiste qui considère que toute la Terre d’Israël – non pas seulement la Cisjordanie – fait partie de la « Maison de l’Islam ».

    Cette théologie indique que toute cette Terre doit retourner au règles islamiques, par tous moyens pacifiques, politiques ou violents y compris du djihad. Donc, de 1948 à 1967, au moment où les Palestiniens pouvaient obtenir ce qu’ils revendiquent à présent, ils n’ont ni protesté contre l’occupation jordanienne illégale de la Cisjordanie, ni exigé leur propre Etat même en exil. Cependant, ils ont fondé l’OLP en 1964 en lui attribuant la mission ultime de détruire l’Etat d’Israël. Fer de lance d’une campagne terroriste pour parvenir à ses fins, refusant jusqu’à l’ère d’Oslo de renoncer à sa Charte appelant à « éliminer » Israël.

    La même théologie djihadiste motive le Hamas et ses milices affiliées : Brigades des Martyrs d’Al Aqsa, Hezbollah du Président iranien Mahmoud Ahmadinejab et autres « fronts de résistance » … Ce qui n’a absolument rien à voir avec l’Apartheid !

    L’Etat d’Israël dispose d’une majorité juive. C’est une démocratie se devant de rendre des comptes à ses citoyens et ayant fait preuve de volonté lors de concessions douloureuses pour garantir la paix avec ses voisins. Même le retrait de Gaza a démontré sa sincérité en matière de recherche de résolution pacifique du conflit qui l’oppose aux Palestiniens. Le traumatisme que ce retrait a engendré tant pour Israël que pour Gaza a été étalé à la une des média internationaux. Mais cela n’aura pas suffit ! Alors, toujours le même refrain : « rien de neuf sous le soleil » ? A savoir, dans un court laps de temps des milliers de missiles, tirés à partir des territoires évacués, ont plu sur les civils israéliens du Néguev occidental. Le monde s’est peu prononcé et a peu agi, si ce n’est en qualifiant Israël d’« Etat Apartheid » !

    A travers les années, en réponse parfois aux offres israéliennes les plus généreuses, en pleine ouverture de paix pendant l’ère d’Oslo, les Palestiniens ont opté pour la violence. Qu’ils ont nommée « intifada »… Des vagues successives d’attentats-suicides ont frappé Israël à travers ses frontières poreuses surplombant la rive occidentale. Indifféremment, des hommes, des femmes, des enfants ont été assassinés dans les bus, les restaurants, les hôtels ou les centres commerciaux. Pour se protéger des infiltrations souvent meurtrières, Israël a construit sa barrière de sécurité, constituée de murets aux endroits les plus vulnérables. Elle n’a pas été bâtie pour séparer les populations ou les discriminer mais pour protéger les citoyens d’autres tentatives d’attaques. A ce stade, la clôture de sécurité a été un succès simultanément déploré par les Israéliens. Mais qu’aurait donc fait tout autre Etat démocratique qui se respecte ? Néanmoins, les détracteurs d’Israël aiment à détourner le « Mur de l’Apartheid » pour pourfendre leurs accusations.

    Supposer qu’Israël ait atteint ses 62 ans en tant qu’Etat moderne et que cet Etat Juif n’ait aucune préoccupation d’ordre sécuritaire, représente une pure folie. Les Palestiniens ont le temps et l’ont démontré par leur stratégie inchangée depuis 1964. A Johannesburg en 1994, un an après avoir serré la main du dirigeant israélien Itzhak Rabin sur les pelouses de la Maison Blanche, c’est ce qu’a déclaré Yasser Arafat alors Chef de l’OLP. De proches observateurs appartenant aux média palestiniens ont souvent attiré notre attention à ce propos. La gauche libérale et leurs compagnons de voyage ont préféré l’ignorer. Non Monsieur, l’Apartheid ce n’est pas le sujet ; mais bien la destruction d’Israël.

    Récemment, le dirigeant syrien du Hamas s’est entretenu côte à côte avec Ahmadinejad et ils se sont vantés du fait qu’Israël serait prochainement rayé du globe, dans sa totalité. C’est celle-là la guerre sainte mais pour la gauche libérale, c’est l’Apartheid et le plus incroyable est que ces positions radicales les en aient fait  des alliés !

    Ces mêmes radicaux de gauche épousent la démocratie pour la dénier en pratique. Ils ne permettent pas à des universitaires, à des dirigeants ou des politiciens israéliens d’exercer leur droit à la liberté d’expression. Leur intolérance ne connaît aucune frontière, ils dérangent ou interrompent des conférences dans des institutions éducatives occidentales censées délivrer une éducation fondée sur des valeurs démocratiques. C’est exactement de cette manière qu’opéraient les voyous du régime Sud-africain de l’Apartheid. Ils mettaient brutalement fin à des réunions dès qu’un opposant à leur point de vue osait s’exprimer. Leur seule frayeur était qu’un argument soit plus authentique ou irrésistible que le leur. Les droits démocratiques qu’ils s’octroyaient étaient déniés aux autres.

    Il n’en demeure pas moins que les Palestiniens ont souffert et souffrent encore, mais en blâmer uniquement Israël est une sottise. Leur direction corrompue, les opportunités manquées et leur volonté de soutenir la violence et la terreur sont les causes centrales de leur souffrance. Israël n’a rien d’un Etat apartheid. C’est un Etat bien démocratique constamment menacé de destruction et ne cherchant qu’à équilibrer son besoin de paix durable avec ses voisins et celui de sa sécurité. Son expérience régionale a enseigné à Israël que sécurité et droit à l’existence sont sa priorité numéro un. Après tout, tout au long du plan et des processus de paix présentés dans la région, il est constamment en train de céder, pour en échange n’avoir que de seules garanties verbales de la part de ses interlocuteurs. Peu de choses au final. La vérité sur ces accusations d’Apartheid n’est qu’un vaste écran de fumée dans la nouvelle guerre contre Israël ! J’en suis la preuve vivante pour avoir grandi en Afrique du Sud durant l’ère sombre de l’Apartheid et m’y être opposé au péril de ma vie. (Ambassade d'Israël)

    par le Révérend Malcolm Hedding

    ________________________________________

    Jeune fonctionnaire en Afrique du Sud, le Révérend Malcolm Hedding a participé à la lutte contre l’Apartheid dans les années 80 et menacé de détention sans procès par le trop célèbre Bureau national de Sécurité. Il dirige aujourd’hui l’Exécutif de l’Ambassade Chrétienne de Jérusalem.

     


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  • Le 14 mars 2010

    Selon un article du Daily Mail de dimanche, des militants allemands tentent de rendre publics les documents secrets concernant la fuite du nazi Adolf Eichmann après la Seconde Guerre mondiale. Selon le groupe, mené par le journaliste allemand Gabriele Weber, le dossier pourrait contenir les preuves que l'évasion d'Eichmann a été facilitée par le Vatican et par des agents allemands. Les militants ont entamé un procès contre les services de renseignements allemands - le BND. Ils réclament la publication des 4 500 pages d'informations sur Eichmann. La Cour fédérale administrative de Leipzig étudie actuellement la requête et les documents dont il est question. Le BND, quant à lui, aurait affirmé que "la plupart des informations contenues dans les fichiers ont été fournies par un service de renseignements étranger anonyme" et doivent par conséquent rester secrètes afin de conserver de bonnes relations de coopération entre les agences de renseignements.

    Le groupe persiste et signe

    Cette déclaration n'a pas suffi à décourager les militants : "Il y a de solides raisons de croire [qu'Eichmann] a reçu de l'aide d'officiels allemands, italiens et du Vatican", disent-ils. L'avocat de Weber a déclaré au Daily Mail que Ricardo, le fils d'Eichmann, s'est lui aussi exprimé en faveur de la publication des documents.

    En 1946, Eichmann a été capturé par l'armée et a traversé l'Atlantique en tant que prisonnier de guerre. La même année, il s'est échappé et s'est caché en Allemagne, puis en Italie et en Suisse, jusqu'à ce qu'il obtienne un nouveau passeport et un visa argentin sous une fausse identité, celle du réfugié Riccardo Klement. Sous cette nouvelle identité, Eichmann a pu obtenir de nouveaux papiers d'identité par l'Allemand Bishop Alois Hudal, qui travaillait depuis Rome. Cet homme est connu pour avoir aidé d'autres criminels nazis à échapper à la justice. Eichmann a vécu en Argentine pendant 15 ans avant d'être capturé par le Mossad. Il est mort pendu en Israël en 1962. (Jérusalem Post)

     


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